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Un jour. Un hasard. Une histoire.

12 août 2011

Ce rêve blanc.

Et je me suis sentie partir tu sais. T'avais beau être ailleurs, j'y étais aussi. Le pourquoi du comment, je n'en sais rien. Des ailes ont poussés et tout s'est écartés. Il n'y avait rien d'autre que toi. Les visages défilaient et aucun ne me marquaient, je n'y voyais qu'une seule énergie. Les couleurs s'enchainaient. La tienne me touchait. J'ai beau cherché un sens je ne trouve que ta direction. Un transport, un couloir.

Voler un sourire est une chose, voler un coeur en est une autre.

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11 juillet 2011

Ce n'est qu'un au revoir.

J'ai voulu te retenir tu sais. Tout le long je n'ai respiré que ta peau. Après ces mois à la recherche d'un sourire de toi. Cet espoir qui nous ronge à en faire perdre la raison. Souvent inexistante.

Et toute ces nuits tu me hantes, le démon de mes reves, le cauchemar de mes jours.

Je t'aime à t'en hair.

9 juillet 2011

Souffle douloureux.

J'ai souvent cherché et pour ainsi dire j'ai ramé. Rien n'a de sens mise à part celui qu'on lui donne. Si dès la naissance on nous avait inculqué que la violence était reine et que c'était la seule façon de respecter un autre être que soit. Alors ça serait le cas. L'influence et la manipulation.

J'aimerais souvent ne rien penser, ne pas avoir à penser, oublier cette sensation qui te bouffe de l'intérieur. Les regrets, les remords, à quoi bon commencer puisque la fin est inscrite ? On s'oblige pour à la fin n'avoir pas même eu le temps de crier victoire et rajouter : "J'ai existé"

On court à s'épuiser. Puisque le mot d'ordre est subir. Je marche dessus.

 

4 juin 2011

Unknown

L'inspiration est aussi absente que ma tête est dans les nuages. Je le sais pertinemment que tous les mots qui sortiront de ma bouche, ou de mes doigts en tapant sur ce clavier ne changeront rien au fait. Si tu avais ne serais-ce qu'une idée de ce que vie mon cœur tu le prendrais peut être avec plus de considération.

De déception en déception on fait trois pas en avant et un en arrière. Je suis ne pas Wonderwoman, je faiblis sous le poids de tes mots, de ta hargne et de ton indifférence. Je ne pensais pas que ça me toucherais autant, je fais l'insensible mais je ne le suis pas, tu ne verras rien de mes faiblesses. Les instants où je me dévoile sont rares alors savoure ta victoire elle est éphémère.

Pour ce qui est du reste je suis contente.

2 juin 2011

Clostrophobe en plein air.

- Chanson écoutée pendant l'écriture : Ferme les yeux et imagine toi -

 

C'est toujours à mourir de rire quand ça arrive aux autres. Sauf que là changement de rôle. Les regards qui se frolent, les émotions qui se confondent. A ne plus savoir si on sourit ou non, un bout de mon âme est partie pour toujours, le reste est intacte et c'est jour après jour qu'on se doit d'avancer. Pour soit, pour ceux qu'on aime et qui nous aime. Puis arrive un être qui parraît au premier abord adorable. On sympathise et contre toute attente à nos principes et nos valeurs on se confit. J'ai énormément de mal avec la confiance des autres à mon égard et apparemment je n'ai pas eu tort. Encore une fois eu. Alors qu'on ne me parle plus de pardonner, et de croire en l'homme. Je crois en moi c'est déjà un énorme pas en avant. Je n'éprouverais pas de haine envers sa personne. L'indifférence est la pire des insultes. On ne manque pas de respect par plaisir, la méchanceté gratuite ça m'écoeure.

 

Je me sens enfermée même à l'extérieur. C'est pas ma faute à moi, vous m'écrasez de vos haines entremêlées.

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2 juin 2011

Commençons donc par la fin.

Ma tête est un putain de film. C'est souvent ce que dis après un rêve ou encore une journée passée à penser ou autres activités de ma vie.

Moi c'est Marylin mais on m'appelle Lyne. Marylin c'est moi et Lyne c'est l'autre, celle qu'on croit connaître, qu'on aime ou non. Je pars du principe que quelque soit ce qu'il peut nous arriver c'est que ça devait être ainsi, joyeux ou au contraire.  Le contraire je le repousse, je serre les dents et je souris le coeur en main; pour repousser cette rancoeur et cette haine qui tente de m'envahir.J'aime la vie mais elle ça dépend des jours. Elle est plutôt lunatique et c'est ce qui fait son charme.

 

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Un jour. Un hasard. Une histoire.
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